La coopération avec le Ministère des Communications et des Technologies de l'Information (MCTI)

Le Ministère a prêté son soutien au Comité dans deux domaines à savoir:
Fournir un soutien technique et matériel au Comité Suprême pour créer et héberger son propre site Web sur Internet:
Le Ministère a prêté conseil au CSPDH lors de son contrat avec une société égyptienne afin de créer son propre site Web. Un représentant du Ministère a suivi le processus de la conception du site Web et a fourni une formation nécessaire à l'équipe du travail pour connaître "le savoir-faire" de la gestion du site, jusqu'à son lancement au premier trimestre de l'année 2021. Le Ministère a également pris en charge les dépenses nécessaires afin de fournir les appareils et les serveurs dédiés à l'hébergement du site pendant une période d'au moins un an à compter de la date de son lancement.
Fourniture d'un appui technique au CCSPDH au cours de ses discussions avec le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'Homme (HCDH)
Un représentant du Ministère a assisté à toutes les réunions techniques initiales liées à la création d'une base de données nationale pour suivre la mise en œuvre des recommandations adressées à l'Égypte par les mécanismes internationaux et régionaux des droits de l’Homme. "Base de données pour le suivi des recommandations nationales" "National Recommendation Tracking Database" (NRTD)
La base de données nationale pour le suivi de la mise en œuvre des recommandations est considéré comme étant un système électronique qui facilite le processus d'inscription, de suivi et de préparation des rapports nationaux concernant la mise en œuvre des recommandations relatives aux droits de l'Homme émises par les comités des traités et des mécanismes nationaux pertinents.
La base de données permet le traitement systématique des mécanismes des droits de l'Homme, la collecte et la gestion d'informations sur la mise en œuvre de toutes les recommandations relatives aux droits de l'Homme. Ces dernières émanent de divers organes conventionnels qui peuvent atteindre des centaines de milliers. De plus, c'est un outil qui permet aux États de gérer ces informations, dans leur langue locale, en fonction de leurs besoins et de préparer un plan de mise en œuvre des recommandations en matière de droits de l'Homme.